"Cap sur la Hague" - randonnée pédestre

Quand : Juillet 2004
Durée : 1 semaine
Localisation : Cotentin, département 50 (Manche) en Basse Normandie

Synthèse : Randonnée pédestre sur 5 jours, avec portage de sac à dos, de Portbail à Gréville-Hague (aux portes de Cherbourg), sur le GR223. Nuit en gite de groupe, chambre d’hôte ou hôtel. Le midi, pique-nique, le soir, les pieds sous la table. Hébergements réservés dès février.
Participants : 9 personnes, dont 7 adultes et 2 filles de 14 ans
Organisation : Privée
Itinéraire : la connaissance de la région par un ancien "normand" du groupe, et l'aide du livret du GR223

Le détail jour par jour (distances estimées)
Jour 0 : dimanche : Rassemblement à Portbail, sur la côte de la Manche (50 Manche). Nous avons 3 voitures, nous en conduisons 2 à l’arrivée de la dernière étape, et nous rentrons avec la 3ème.
Chambres d'hôtes
Jour 1 lundi : Portbail – Barneville-Carterets : 10 kms
Gite de groupe
Jour 2 : mardi : Barneville-Carterets – Les Pieux : 28 kms (34 kms avec une grossière erreur de navigation)
Hôtel
Jour 3 : mercredi : Les Pieux – Biville : 25 kms
Gite de groupe
Jour 4 : jeudi : Biville – Goury – Auderville : 23 kms
Gite de groupe
Jour 5 : vendredi : Auderville – Gréville-Hague (toujours 50 Manche) : 23 kms pour certains, récupération de certains bagages laissés volontairement à des gites, et récupération de la voiture laissée au départ de la première étape
Gite de groupe
Jour 6 : samedi : dispersion du groupe

Les + : paysages sauvages et méconnus, le bleu émeraude de la mer, la lumière les jours de soleil, des côtes contrastées (plage, rochers), l’accueil aux étapes, les repas du soir, la proposition d’un hôtelier de transporter une partie des sacs, les hortensias, Port Racine, Osmonville-la-Rogue, la baie d’Ecalgrain, le phare de la Hague, le port de Goury, un dénivelé accessible à tous, pas trop de route pour venir du Nord de la France, un trajet rapide en voiture entre le départ et l’arrivée pour récupérer les voitures
Les - : Une erreur de navigation qui contraint certaines à finir en taxi, une journée de pluie diluvienne et de vent, les pieds encore trempés pour certaines le lendemain de la pluie, la contrainte à l’abandon le surlendemain, peu de rencontres sur le chemin.