21/07/2023
Marathon de Barcelone - Espagne - Dimanche 19 mars 2023
Pendant le marathon du 19 mars 2023
Mon récit : Le marathon de Barcelone, m'a donné envie, il y a un an et demi, fin 2021. Par hasard, j'étais à Barcelone, le jour du marathon de Barcelone, mais c'était en automne, car en mars 2020 et mars 2021, il n'y avait pas eu de marathon. Le spectacle des coureurs devant la Sagrada Familia était fantastique. J'ai donc décider de m'y intéresser. Par hasard encore, les Foulées Athlétiques de Wasquehal (FAW) ont décidé d'aller courir ce marathon. FAW moi-même, je n'ai pas hésité à m'inscrire à ce marathon qui se court dans une jolie ville, pas très plate (sauf au bord de la mer).
Une de mes filles avec moi, plusieurs FAW avant, pendant et après la course, c'était sympa. Dans les supporters, 3 membres de ma famille et deux amies de Barcelone. Le tout a été très agréable. L'avant et l'après course a été assez festif. C'est bien naturel dans cette ville.
Mes impressions : c'est un très beau parcours dans une ville riche en architecture et en bord de Méditerranée. Très bien organisé ! L'inscription est simple et le prix raisonnable pour un grand marathon. Plusieurs faux-plats, surtout dans les derniers kilomètres, rendent le parcours exigeant. Le public est présent pour nous acclamer !
Mon résultat : 4h20 mn.
Le lendemain de mes 68 ans, je ne suis pas mécontent. Je suis davantage content d'avoir été régulier et de n'avoir jamais craqué que du résultat proprement dit.
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15/04/2022
Marathon de Rome - Italie - Dimanche 27 mars 2022
Marathon de Rome - 27 mars 2022 Marathon le plus préparé (2 préparations) et le plus familial
Date : dimanche 27 mars 2022 – Départ 8h45 Parcours : En boucle, départ et arrivée Via dei Fori Imperiali, entre le Colisée (dans le dos) et le Monument Victor-Emmanuel II (face à nous). Trajet très urbain, avec beaucoup de circonvolutions, mais pas pour rien, pour passer devant les lieux emblématiques de la Capitale italienne et du Vatican. La Place de Venise, le Circo Massimo, le Tibre, le Vatican et la Place St Pierre, le pont St Angelo, puis vers le retour, la Place del Populo, la Place d'Espagne, la Piazza Navona.
La précédente édition de fin mars, date classique de ce marathon, a eu lieu en 2019. En 2020, nous étions inscrits, mais le covid est passé par là, avec un 1er report ... 2ème report encore en mars 2021. Puis on nous a proposé le choix entre une édition spéciale le 21 septembre 2021 ou l'édition classique du 27 mars 2022. C'est celle-ci que nous avons choisie.
Nombre de participants : 5491classés en moins de 6 heures, à 85% italiens, 5% français et le reste sur 57 nationalités. 8800 en 2019, mais attention, il y a eu l'édition spéciale de septembre 2021 avec également 5500 classés.
Organisation générale : Très bien organisé !
Pour nous, récupération des dossards le samedi matin au Salone delle Fontane. C'est un peu long, mais c'est le créneau qui veut cela. Et l'ambiance est bonne. Beaucoup de stands commerciaux autour du marathon. On sent monter l'ambiance de la course.
Le dimanche, pour se rendre sur le départ, c'est le Colisée (Colosseo) centre ville historique qu'il faut viser. Nous y allons à pied, avec un trajet d'une vingtaine de minutes. Pas besoin d'arriver des heures à l'avance, une heure suffit pour déposer son sac de consigne dans les camions, passer aux wc et rejoindre l'un des 4 sas de départs A, B, C ou D selon son chrono justifiable depuis 2 ans.
Des ravitaillement fréquents et généreux. Tous les 2,5 kms : de l'eau toujours, ainsi que des boissons énergisantes. Du solide (bananes, oranges, sucres, biscuits) à un ravito sur deux environ à partir du 10 kms. Et des éponges tous les 5 kms environ également. A l'arrivée, un sac avec de l'eau, une boisson énergisante, une pomme, des friandises et des biscuits. Une couverture de survie, bien pratique pour se reposer au soleil, sur le sol, un peu plus loin derrière la ligne d'arrivée.
Le parcours est un peu ondulé sur 10 kms, puis plat, puis une côte très pentue de 1 km au 30ème km. On peut vraiment parler du mur des 30 kms.
Les température sont douces au départ et commencent à grimper vers 12 heures (18 degrés) et 13 heures (20 ou 21 degrés), heure de mon arrivée en 4h13.
Quelques tables de massage, mais très peu, d'où l'abandon de l'idée de se faire masser.
Le public peut rejoindre les coureurs au Colisée.
Lièvres : Beaucoup de chronos proposés. Mais attention, il faut bien les repérer car par exemple, il y a des lièvres pour les 4 heures de départ D mais aussi dans le sas de départ C.
Chrono : Par puce individuelle, temps tous les 5 kms et à mi-course.
Résultats récupérés sur le site, avec accès à des statistiques.
Médaille Belle médaille à l'arrivée (et en plus, nous avons eu la médaille de l'édition du marathon 2020 annulé)
Géolocalisation : géolocalisation des coureurs
La ville : Mérite le voyage.
Circulez en métro bus, tram, train et à pied. Les taxis sont nombreux et abordables. Comme toujours, le jour du marathon, renseignez vous pour les transports en commun (stations fermées ou horaires modifiés). Avant le marathon, pas de problème pour la pasta party au restau ou chez soi ou celle de l'organisation.
Le public : Pas hyper nombreux, mais qui encourage bien.
Les accompagnants : A pied et par le tram, on accède à plein d’endroits du parcours. C'est un circuit très intéressant pour encourager votre champion ou championne préféré(e) car avec les nombreuses boucles du circuit, on peut facilement couper à pied pour changer d'endroit et guetter.
Le site : https://www.runromethemarathon.com/en/home-en/ en italien, en anglais
Coût : 59 à 99 euros selon la date d'inscription.
Inscription : Attention, c'est la plus complexe des inscriptions que je n'ai jamais eue, mais j'ai réussi. Il faut démarrer sur le site internet officiel du marathon, puis s'inscrire sur ENDU qui gère les inscriptions. Mais il faut une licence internationale reconnue en Italie, sinon il faut acheter la RUNCARD (licence italienne valable 1 an) à 15 euros, ce que j'ai fait. Et il faut un certificat médical et là aussi, il faut s'inscrire sur un site DATAHEALTH et l'envoi coûte 2,81 euros en 2022. Quand ce marathon administratif est terminé, on reprend son souffle ! Le plus dur est fait.
Une autre difficulté vient aussi des mauvaises traductions anglaises ou parfois françaises
Les accès à Rome : Avion (aller par Fiumicino, retour par Ciampino). De Fiumicino, nous avions réservé le bus Terravision jusqu'à la gare centrale TERMINI (6 euros - 1 heure), mais il y a d'autres solutions train, plusieurs compagnies de bus, taxi. Nous logions à 10 minutes à pied de la gare, c'était très pratique. Plus tard dans la semaine, nous avons changé de logement et logions près du Panthéon. Au retour, nous avons pris un taxi de notre logement pour 3 personnes, pour 31 euros.
Mon temps : 4h13 en 2022 (67 ans) pour mon 12 ème marathon
Mon récit : J'ai planifié ce marathon 6 mois à l’avance pour 2022, donc en réalité 2,5 ans avant avec les 2 reports. Inutile de dire que prendre le départ du marathon a été une grande joie, même avec le masque canard obligatoire jusqu'aux 500 premiers mètres. Et que dire de l'arrivée ! ! ! Ce marathon a été prévu, planifié avec mes 3 filles, d'où le qualificatif de marathon familial, avec un supporter et 2 supportrices de la famille. Le tout a été extra-ordinaire. Pas de problème non plus pour trouver des endroits festifs pour manger et boire le soir du marathon.
Mes impressions : c'est un très joli parcours dans une ville riche en architecture. Très bien organisé ! Oublier la relative difficulté administrative pour l'inscription et profitez à fond de ce beau marathon !
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09/05/2019
Marathon de Cracovie - Pologne - 28 avril 2019
Marathon de Cracovie - 28 avril 2019 Marathon le plus vieux (64 ans) et pluvieux
Date : dimanche 28 avril 2019 – Départ 9h00 Parcours : En boucle, départ et arrivée de la place centrale de la vieille ville, passage devant le château de Wawel à l'alléer et au retour, trajet le lon g de la Vistule, puis dans les quartiers d'immeubles. Plusieurs AR qui permettent de voir ceux qui vous précèdent, puis ceux qui vous suivent. L'édition 2019 s'est déroulée 100% sous la pluie, avec une température fraîche, mais c'était moins dérangeant que les 25 à 27 degrés que nous avons eu les jeudi et vendredi précédents.
Nombre de participants : 6200 inscrits au marathon, 5300 classés en moins de 6 heures. J'estime à 90% le nombre de polonais.
Organisation générale : Très bien organisé. Chapeau !
Récupération des dossards dès le jeudi (très fluide). Peu de stands commerciaux autour du marathon. Cela se passe dans le stade de foot de la ville.
Samedi soir, pasta party ! Mais nous n'y sommes pas allés.
Pour se rendre sur le départ, c'est le centre ville historique. Pas besoin d'arriver des heures à l'avance. Des sas théoriques existent, mais ils ne sont pas physiques (pas de séparations). Tout le monde peut aller partout.
Des ravitaillement fréquents et généreux. Tous les 2,5 kms : eau, Iso. Tous les 5 km : Bananes, chocolat sucre.
A l'arrivée : boissons, crêpe à la banane et au chocolat. C'est revigorant.
Lièvres : Des lièvres efficaces et qui ne se mettent pas en tête de course. Il n'y a donc pas besoin de courir et dépasser pour les rejoindre. Temps tous les 15 minutes.
Chrono : Par puce individuelle, temps tous les 5 kms et à mi-course.
Résultats récupérés sur le site, avec accès à des statistiques.
Médaille : Belle médaille à l'arrivée.
Géolocalisation : géolocalisation des coureurs par une application smartphone très efficace.
La ville : Mérite le voyage.
Circulez en métro bus, tram, train et à pied. Les taxis sont nombreux et abordables. Transports en commun : gratuit pour les coureurs le jour du marathon. Attention, perturbation sur certaines lignes.
On profite de Cracovie pour visiter les camps d'Auschwitz-Berkenau et les mines de sel de Wieliczka.
Le public : Pas très nombreux, mais la pluie a dû les dissuader de venir.
Les accompagnants : A pied et par le tram, on accède à plein d’endroits du parcours.
Le site : https://www.pzucracoviamaraton.pl/ en polonais et en english
Coût sans comparaison : 20 euros.
Inscription : Sur le site internet, avec des tarifs progressifs au fil des mois.
Les accès à Cracovie : Avion puis train (20 minutes) entre aéroport et gare centrale qui est à moins de 10 minutes à pied de la ville historique.
Mon temps : 4h00 en 2019 (64 ans) pour mon 11 ème marathon
Mon récit : J'ai planifié ce marathon 6 mois à l’avance, avec un séjour familial et touristique. Je me suis bien entrainé pendant 3 mois, à raison de 3 sorties par semaine : fractionné en côte, fractionné, et Sortie Longue (SL). Notamment, 5 semaines consécutives avec SL de 30 kms à 10,5 kms/h).
J'ai couru les 22 premiers kms à côté de ma fille qui a réalisé ce jour son 2ème marathon. C'était très sympa. Nous nous sommes ensuite séparés pour suivre chacun notre rythme.
Merci aussi à ma famille sur place et aux encouragements de mes petits-enfants, de mes amis, et de mes camarades de club. Tout cela fait du bien et aide à courir.
Mes impressions : c'est un très joli parcours (1er et dernier quart) dans une ville riche en architecture. Au milieu, c'est moins fun, mais pas désagréable. Très bien organisé ! A conseiller pour la ville !
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05/05/2017
Marathon d'ANNECY en duo
Marathon d'Annecy - 30 avril 2017
Le plus beau cadre pour un marathon.
Ravitaillements : Liquides et solides (bananes, oranges, raisins secs)
Lièvres : oui
Chrono : Par puce individuelle
La ville et la région : Méritent le voyage. Annecy est concentré, et vous êtes à côté de tout à pied. Pour aller plus loin, louez un vélo.
Le public : Assez nombreux et il encourage !
Mes impressions : c'est un marathon que je qualifierai d'intime. Nombre limité de coureurs, mais l'étroitesse de la piste cyclable donne de la densité à la course. Beauté sans limite, "à couper le souffle" ! (Pour une course, l'expression est mal choisie, mais c'est vrai ...). Très bien organisé, public enthousiaste ! A conseiller ! A faire et refaire ! Le lundi qui suit, il faut redescendre de son petit nuage. L'édition 2017 a été placée sous le signe du soleil, samedi et dimanche. Alors, c'était l'occasion de flâner l'après-midi et en soirée.
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07/05/2015
Marathon de Madrid - 26 avril 2015
Le plus rock'n roll et le plus pluvieux
Le premier à 60 ans
Entre les deux, Paseo de la Castellana aux immeubles représentatifs d'un siècle d'évolution architecturale, le stade Barnabeu, Plaza Castilla avec les tours penchées Kio. Plus loin, Quevedo, Gran Via, Sol, calle Mayor, passage entre le Palais royal et l'Opéra, puis au bas de la Place d'Espagne. Tour du Parc Ouest, boucle dans le Parc Casa de Campo, avec le tour du lac (Lago). Encore quelques kms, et on arrive à la gare Atocha, et puis de nouveau Paseo del Prado, Cibeles, et un dernier petit crochet avant de terminer dans le parc du Retiro.
Organisation générale : Très bien organisé, sauf les lièvres. Récupération des dossards le vendredi (très fluide) et samedi (bondé) avec stands commerciaux autour du marathon. C'est dans un immense parc, au sud de la ville. Belle et lourde médaille sur le thème Rock n' Roll. Samedi, pasta party ! Pour se rendre sur le départ, prenez le métro, mais prenez de la marge, car vous n'êtes pas tout seul, et il faut faire un assez long trajet à pied : sortie du métro / Aire d'arrivée dans le parc du retiro pour y déposer un sac à retrouver à l'arrivée, et pour un petit wc / Ligne de départ (1 heure environ)
Ravitaillements : Tous les 5 kms : eau. Powerade et gels tous les 5 kms à partir du km 10. Bananes aux 21 et 30 kms.
Lièvres : Théoriquement oui, mais où étaient-ils ? c'est la seule fausse note de l'organisation.
Chrono : Par puce individuelle, temps tous les 5 kms et à mi-course.
La ville : Mérite le voyage. Circulez en métro bus et à pied. Les taxis sont nombreux et abordables.
Transports en commun : Coureur ou accompagnant, prenez pour tout votre séjour, un billet forfaitaire unique pour le métro et les bus. Les organisateurs vous le signalent dans les mails et sur le site. Le métro est très efficace et très propre.
Le public : Assez nombreux, surtout dans les parties urbaines, et qui donne de la voie "Animo Animo" ... Courage !
Les accompagnants : Par le métro, on accède à plein d’endroits du parcours.
Les médias : Evènement couvert par la télévision et la presse espagnole
Le site : http://es.competitor.com/madrid/
Inscription : Sur le site internet, avec des tarifs progressifs au fil des mois.
Mon temps : 4h19 en 2015 (60 ans) pour mon 9 ème marathon
Mon récit : J'ai planifié ce marathon 6 mois à l’avance, avec un séjour familial et touristique. Je me suis bien entrainé pendant 3 mois, à raison de 3 sorties par semaine : fractionné en côte, fractionné, et sortie longue, jusqu'à 25 kms à 10 kms/heure.
Mes impressions : c'est un joli parcours dans une ville riche en architectures, mais aux changements de rythmes fréquents à cause du dénivelé. Très bien organisé, public enthousiaste ! A conseiller pour la ville et l'ambiance, mais avec une bonne préparation pour les côtes !
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17/09/2014
De l'or en Suisse pour une phénoménale athlète
Samedi 16 août 2014 à 9h, aux championnats d'Europe à Zurich, les athlètes féminines de la merveilleuse et difficile épreuve du marathon s'élance. Moi, je suis dans mon fauteuil devant la télévision en direct.
Le spectacle va durer 2 heures 3/4. La course pour les plus rapides va durer 2h25 et quelques secondes. Ce sont les quelques secondes qui feront que ces athlètes recevront le bronze, l'argent ou l'or. Pendant ces 2h25 et quelques, c'est une fameuse tranche de sport, et chaque foulée procurait une forte émotion pour nous, spectateurs supporters de la France. Nous avons craint que l'italienne Valeria Straneo passe en tête, ou que la portugaise Jessica Augusto ne recolle au duo de tête.
Pendant toute la course, le suspens régnait, y compris quand les images s'écartaient des deux filles de tête. Ce n'est qu'à 1 kilomètre de l'arrivée, que je commence à être certain que l'or est pour ... la française Christelle Daunay (même si, connaissant un peu ses exploits déjà télévisés à Paris ou à New York, je savais ce qu'elle valait).
Résultat : "Brillante dans les plus grands marathons du monde depuis 2007, Christelle Daunay a décroché, ce samedi, sa première médaille internationale. La plus belle, celle en or, grâce à un nouveau record des championnats en 2h25’14’’. La Française s’est détachée en fin de course, pour devancer de quelques secondes l’Italienne Valeria Straneo (2h25’27’’) et la Portugaise Jessica Augusto (2h25’41’’)."
... Cet épilogue est tiré du blog de Christelle dont le lien suit :
http://www.leblogdechristelledaunay.com/FFA-Le-jour-de-gloire_a465.html
Tout le détail de l'avant course, de la course, et du deuxième marathon administratif, journalistique, et médical qui s'amorce une fois la course terminée, est raconté par Christelle dans son blog. C'est passionnant ! J'invite tout le monde à se connecter vers cet article, et surtout le suivant.
http://www.leblogdechristelledaunay.com/Retour-sur-ce-jour-extraordinaire-du-16-aout_a469.html
Bravo Christelle ! Quelle performance ! Quel direct de télévision !
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17/09/2010
Les marathons
Dans cette rubrique, vous trouverez quelques descriptions de courses à pied, à commencer par les marathons que j'ai courus entre 2001 et 2007, Paris, Rotterdam, Le Médoc, Amsterdam, New York, et Berlin
13:00 Publié dans Marathons | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Marathon de Paris
Le premier de tous
Date : mi-avril– Départ 9H
Parcours : Très beau parcours touristique, en boucle. Départ du haut des Champs Elysées près de l'Arc de Triomphe. Trajet vers l'est de Paris, en passant par la Place de la Concorde, le Louvre, la rue de Rivoli, l'Hôtel de Ville, et la Bastille, Bois et Château de Vincennes. Traversée de Paris d'est en ouest, via l'Avenue Daumesnil, la Bastille, puis par les quais de Seine (passage devant l'Ile de la Cité, avec les tours de Notre Dame de Paris, la Tour Eiffel, le Trocadéro), traversée du Bois de Boulogne, et arrivée Avenue Foch, derrière l'Arc de Triomphe.
Nombre de participants : 35000
Organisation générale : Bien organisé, avec sas de départ selon les temps annoncés à l'inscription. Récupération des dossards la veille dans un grand hall d'exposition, avec stands commerciaux autour du marathon. Belle médaille.
Ravitaillements : Tous les 5 kms, eau et solides (fruits secs, bananes, sucre)
Lièvres : Oui
Chrono : Par puce individuelle, temps tous les 5 kms et à mi-course
La ville : mérite le voyage
Le public : Ce n'est pas le meilleur public des grands marathons, mais cela s'améliore progressivement. Essentiellement dans les quartiers de la Bastilles, et le long des quais. Ailleurs, peu présent, et d'une manière générale peu d'encouragements.
Les accompagnants : Possibilité de voir le départ dans le bas des Champs-Elysées, puis de prendre le métro pour changer d'endroit, ou d'aller à pied vers les quais de Seine. Retrouvailles en dehors de l'aire réservée aux coureurs.
Les médias : En direct sur France 2 ou 3 pendant 2h30. Nombreux plans sur le départ, avec la nuée des banderoles individuelles ou collectives des participants
Le site : http://www.parismarathon.com/
Inscription : Sur le site. Inscriptions conseillées en septembre ou octobre pour l'année suivante (clôture le 9 novembre 2009 pour avril 2010) et tarifs dégressifs de 58 à 90 euros selon l'ordre d'arrivée des inscriptions.
Mon temps : 3h55 en 2001 (46 ans) pour mon premier marathon, 3h38 en 2003 (48 ans) pour mon 3ème marathon. C'est mon meilleur chrono
Mon récit :
C'est mon premier marathon en 2001. Il s'est bien déroulé, avec des accompagnantes motivées pour m'encourager à plusieurs endroits du parcours. Mon chrono a été meilleur que je pensais (4h). Mon ami Gilles m'accompagnait lui aussi pour son premier marathon, mais nous nous sommes perdus de vue dès le premier ravitaillement. Citation : Seul celui qui a couru un marathon peut porter le nom de MARATHONIEN !
En 2003, en terrain connu, avec une expérience accrue, un organisme physique qui partait de moins loin, l'efficacité a été au rendez-vous. Une deuxième partie quasiment au même temps que la première partie. Entre 2001 et 2003, les sas de départs selon le chrono escompté ont été mis en place, et j'ai pu courir à mon rythme, sans gêne dès le départ.
Mes impressions : c'est un très beau parcours dans une ville prestigieuse, très bien organisé, un peu difficile par ses côtes et faux plats de la deuxième partie. J'aimerais un peu plus d'enthousiasme de la part du public. A conseiller tous !
12:55 Publié dans Marathons | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Marathon de Rotterdam
Parcours : C’est une espèce de 8, avec une grande, puis une petite boucle. Parcours très roulant, où l’élite contribue aux meilleures performances mondiales (2 h 04’ 48’’ en 2010). Départ du Centre Ville, devant la mairie de Rotterdam (Coolsingel), près du port. Passage sur le très beau pont Erasmus, traversée de quartiers dans le port, retour sur le pont Erasmus. Puis, autre boucle dans une partie plus verte de la ville et retour au Centre Ville.
Nombre de participants : 8000
Organisation générale : Très bien organisé. Vestiaire, douche à 10 minutes du départ. Récupération des dossards la veille dans Marathon Sport Expo, avec stands commerciaux autour du marathon. Belle médaille.
Ravitaillements : Tous les 5 kms, eau, et boisson énergisante, mais pas de solides (c’est dommage !)
Lièvres : Oui
Chrono : Par puce individuelle, temps tous les 5 kms et à mi-course
La ville : mérite la visite
Le public : Hormis New-York, c’est le meilleur public que j’ai rencontré (similaire à Berlin). C’est le plus grand événement sportif des Pays-Bas. En 2002, 2 millions de spectateurs très enthousiastes se massent tout le long du parcours, notamment aux alentours d’Erasmus Bridge, car on y passe 2 fois, et c’est près du départ et de l’arrivée.
Les accompagnants : Possibilité de voir le départ avant le Pont Erasmus, puis de changer de lieu en prenant le métro. L’aire de l’arrivée réservée aux coureurs est très réduite, on peut donc fêter son héros ou héroïne (oui, elle est facile) très rapidement après la distribution des médailles, et avant les vestiaires.
Les médias : Evènement couvert en néerlandais ! Bof pour les Français !
Le site : http://www.marathonrotterdam.nl/
Inscription : Sur le site internet.
Les accès : En voiture, se garer dans les grands parkings bien balisés, à l’extérieur de la ville, avec billet de métro pour le Centre Ville. Par le train, la Gare est à quelques minutes à pied du départ.
Mon temps : 3h52 en 2002 (47 ans) pour mon deuxième marathon, 3h49 en 2006 (51 ans) pour mon 7ème marathon.
Mon récit :
2002 : Ce deuxième marathon, un an après Paris fait l’objet de rêve d’amélioration du chrono. Mais la grosse chaleur de cette édition, l’a rendu plus difficile. De plus, avec mon ami Gilles arrivé le matin même en train, nous sommes partis dans les derniers. De ce fait, nous avons consommé beaucoup d’énergie à sautiller de droite à gauche (et inversement) pour doubler. Au bout de 20 kms, je me suis calmé, et j’ai laissé partir Gilles que j’ai retrouvé au km 30. A l’arrivée, je n’avais grappillé que 3 minutes par rapport à 2001. Je suis arrivé très fatigué, et je me suis dit : c’est mon dernier marathon. Une heure après, douché, rhabillé, assis devant une bière avec famille et amis, je me demandais déjà avec Gilles, quel serait le marathon que nous choisirions en 2003 !
2006 : Novembre 2005, je reviens de New-York et je veux m’inscrire pour Paris en 2006, avec des collègues. Impossible, les inscriptions sont closes. Je me rabats donc sur Rotterdam dont je n’avais gardé que les bons souvenirs. 5 ans après la précédente édition ! Je n’envisage plus de record, mais de parcourir le marathon entre 3h45 et 4h. Cette fois encore, le soleil est au rendez-vous. Je prends un bon départ. J’ai une feuille de temps qui se révèlera un peu ambitieuse. A partir du fameux mur des 30 Kms, les crampes arrivent. Je marche un peu de temps en temps. Au km 39, encouragé par ma famille, je retrouve du jus pour suivre le meneur d’allure de 4 Heures, et au dernier km, je le double, et arrive en 3h59. Beau souvenir encore de ce marathon avec ma famille HYPER ENCOURAGEANTES et mes amis Etienne et Gonzague.
Mes impressions : c'est un parcours agréable, assez varié, dans une ville animée. Très roulant, très bien organisé, et au public nombreux et enthousiaste ! A conseiller pour tous, et on ne doit pas s’y inscrire 6 mois à l’avance !
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Marathon du Médoc
Le plus long marathon du monde
Date : un samedi de septembre (après la rentrée des classes) – Départ 9h30 - à jeun de préférence
Parcours : C’est un joli parcours dans une belle région, très vallonnée, au cœur des vignobles et de ses châteaux. Départ et arrivée à Pauillac. Traversée de châteaux prestigieux. Parcours parfois en terre battue ou en graviers. Comme tous les marathons, il mesure 42,195 kms, mais certains coureurs zigzaguent parfois le long de la route, d’où le slogan !
Nombre de participants : limité à 8500
Organisation générale : Très bien organisé. Récupération des dossards la veille. Belle médaille, et une bouteille de Médoc à l’arrivée. Des dizaines de tables de massage à l’arrivée, et le personnel qui va avec (10 minutes de soins, c’est court, mais bien agréable). Course déguisée (obligatoire depuis 2004)
S’inscrire au festin de la veille « mille-pâtes » (1500 personnes sous tente, avec apéritif, et vin à volonté, entrée, plat, fromage et dessert, discours, chants, orchestre, danse) Ne pas oublier de rentrer à l’heure pour le petit déjeuner avant la course.
Ravitaillements : Pendant le parcours, eau pour ceux qui le souhaitent, et vin à volonté. Du solide, et notamment des grillades et des huitres dans les derniers kms. Un buffet pour se ravitailler à l’arrivée.
Lièvres : A quoi cela sert ? Ce n’est un marathon sur lequel on peut battre son record !
Chrono : oui
La ville : petite ville et grande région viticole méritent le voyage. Bordeaux à 50 kms.
Le public : Relativement nombreux, constitué essentiellement des accompagnants venus faire la fête et acclamer et admirer les coureurs dans leur tenue de carnaval
Les accompagnants : Possibilité de voir le départ, la mi-course (assez proche de Pauillac) et l’arrivée le long de la Gironde.
Les médias : Belle plaquette reçue après la course, journaux régionaux
Le site : http://www.marathondumedoc.com
Inscription : Sur le site internet, un an à l’avance conseillé !
Les accès : En voiture, se garer dans Pauillac là où l’on peut. Il y a des cars tous les jours de Bordeaux vers les communes aux alentours. Accès à Pauillac possible en train.
L’hébergement : A côté des traditionnels hôtels, campings, chambres d’hôtes, familles et amis de la région, il y a une organisation qui regroupe des habitants qui mettent une fois par an, des chambres / salle de bains / Petit déjeuner en location pour cet événement exceptionnel.
Mon temps : 4h13 en 2003 (48 ans) pour mon quatrième marathon, seule fois où j’ai couru 2 marathons la même année
Mon récit : Ce marathon est inscrit au programme pour faire la fête. C’est un événement très couru dans tous les sens du terme. En 2003, il y avait encore un cinquième des participants non déguisés, et c’était notre cas. Nous étions un petit groupe d’amis (7). Nous avons fait honneur au festin de la veille de la course. Nous étions moins bien entrainés que pour les autres marathons à vocation 100% sportive. J’ai bien couru sous le soleil du départ, c’était amusant de voir tous ces gens déguisés. A mi-course, l’averse s’est déclenchée brutalement, et la pluie a duré près de deux heures, jusqu’à l’arrivée. La deuxième partie de la course a donc été dure. Un peu de marche à pied à quelques kms de l’arrivée. Un dernier km la tête haute, derrière un coureur en fauteuil que la foule applaudissait généreusement, et une arrivée suivie de réconfort.
Mes impressions : c'est un joli parcours, difficile, mais on est encouragé. Il ne faut pas y aller pour y faire une performance, mais pour profiter de tous les bienfaits de la région. Organisez vous (très tôt) pour y aller en groupe, avec des accompagnants non coureurs, ils ne s’ennuieront pas. C’est le deuxième marathon de France, avec 20 % d’étrangers de 35 nations.
A FAIRE UNE FOIS DANS SA VIE DE MARATHONIEN
Photo Fred
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Marathon d'Amsterdam
Parcours : C’est un joli parcours dans une très jolie ville, avec une longue escapade le long de la rivière Amstel. On parcourt une boucle qui part de la piste du stade des jeux olympiques de 1928 et qui retourne au même endroit. Près du départ et de l’arrivée, on y traverse un joli parc urbain, le Vondelpark, et on passe devant le Rijksmuseum. On longe mais on n’entre pas dans la partie des canaux du centre ville.
Nombre de participants : 4000 en 2004, mais qui grossit à vue d’œil, 7000 en 2009
Organisation générale : Très bien organisé. Récupération des dossards la veille dans un grand hall d'exposition, avec stands commerciaux autour du marathon. Belle médaille.
Ravitaillements : Tous les 5 kms, eau, et solide (fruits)
Lièvres : ?
Chrono : Par puce individuelle, temps tous les 5 kms et à mi-course
La ville : mérite le voyage
Le public : Pas très nombreux car le nombre de participants est « raisonnable », mais il encourage ceux qui peinent (je témoigne). Peu de public non plus le long de l’Amstel
Les accompagnants : Possibilité de voir le départ et l’arrivée aux premières loges dans les gradins couverts du stade. Possibilité de se déplacer vers différentes endroits du parcours
Les médias : Evènement couvert en néerlandais ! Bof pour les Français !
Le site : http:// www.amsterdammarathon.nl/ avec une version française
Inscription : Sur le site internet.
Les accès : En voiture, se garer dans les grands parkings bien balisés aux alentours, ou mieux, accéder en transport en commun.
Mon temps : 3h49 en 2004 (49 ans) pour mon cinquième marathon
Mon récit : Ce marathon s’inscrit en fait dans un cycle d’entrainement de mon ami Etienne, un an avant mes 50 ans, occasion pour moi de m’inscrire au célébrissime marathon de New-York. C’est le premier marathon d’Etienne, un test pour lui pour savoir s’il m’accompagnera à NY. Gilles sera cette fois encore de la partie, et de belle manière. Pour ma femme et moi, nous mettons Amsterdam au cœur d’un déplacement de 3 jours aux Pays-Bas (Delft, Leiden, Amsterdam).
Pour la course, je suis très bien entrainé et très ambitieux, battre si possible mon record de 2003, en 3h38. Gilles et moi, prenons un départ assez rapide, car dès la sortie du stade, on peut courir sans gène, sur une large avenue. Au petit déjeuner, Gilles m’avait dit qu’il n’était pas en grande forme, mais très vite, il me distance. Cependant, à l’entrée de l’Amstel, vers les 15 kms, je le rattrape à son grand étonnement. Je tiens le même rythme jusqu’à mi-parcours que j’effectue en un temps de 1h42, temps proche de mon meilleur temps sur semi-marathon. Bien évidemment, je le paye sur la deuxième partie du parcours. A partir de 35 kms, le mur ! Je marche un peu à chaque borne kilométrique, jusqu’à ce qu’un spectateur m’incite à redémarrer ! Je serre les dents sans m’arrêter pour les 2 derniers kms. Dans le stade, pas de sprint, je ralentis encore, mais termine en 3h49. Gilles est arrivé depuis longtemps en 3h18, car lui, il a tenu le rythme, et a explosé son record de 3h38 de 2003.
Mes impressions : c'est un agréable parcours dans une jolie ville. Très roulant, très bien organisé, au public pas très nombreux mais assez enthousiaste ! A conseiller pour tous, et on ne doit pas s’y inscrire 6 mois à l’avance ! L’élite y fait également d’excellentes performances de niveau mondial.
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Marathon de New-York
Le marathon mythique
Parcours : C’est un parcours en ligne qui traverse les 5 districts de New York (Staten Island, Queens, Brooklyn, Bronx et Manhattan). Départ du fabuleux pont suspendu Varrazzano Bridge, arrivée dans Central Park. Beaucoup de larges artères, et plusieurs ponts, dont le Queenboro bridge pour entrer dans Manhattan
Nombre de participants : 35000
Organisation générale : Très bien organisé. Récupération des dossards les jours précédents la course dans un grand hall d'exposition, avec stands commerciaux autour du marathon. Belle médaille.
Ravitaillements : Tous les 5 kms, eau, et solide
Lièvres : ?
Chrono : Par puce individuelle, temps tous les X miles et à mi-course. Le jalonnage du parcours par miles est perturbant, car ce n'est pas le repère de notre culture.
La ville : mérite le voyage, voire plusieurs voyages
Le public : Hyper nombreux, enthousiaste, acclamant sans arrêt. Message d'encouragements personnalisé pour ceux qui scotchent leur prénom sur le t-shirt. "Go Henri ..." "Vive la France !"
Les médias : Evènement retransmis en live sur Eurosport (15h heure française)
Le site : http://www.ingnycmarathon.org/
Inscription : C'est compliqué. Pour la France, quelques associations ou agences de voyage ont des quotas en nombres limités. Ils vendent des forfaits Avion / Hôtel / Tenue / Droit à l'inscription. Vous payez ou non le droit d'inscription selon que vous courez ou accompagnez. Je suis passé par Thomas Cook qui fournit le plus gros bataillon pour la France. S'y prendre l'été 2011 pour novembre 2012 (en septembre 2010, les pré-inscriptions pour novembre 2011 sont closes). Vous ne pourvez pas passer par une inscription personnelle, même si vous êtes déjà hébergé sur place.
Les accès : Avec Thomas Cook, tout est inclus dans la prestation. On arrive en car 3 heures avant le départ. Autrement dit, la nuit est courte.
Mon temps : 4h34 en 2005 (50 ans) pour mon sixième marathon
Mon récit : Ce marathon, c'est mon cadeau de mes 50 ans. Je suis parti avec mon ami Etienne. Nous avons visité NY City depuis le jeudi. Le samedi, nous avons participé à la mémorable course de l'amitié.
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16/09/2010
Marathon de Berlin
Le symbolique
Celui de tous les records
Parcours : Parcours en boucle dans plusieurs quartiers de la ville historique de Berlin, avec départ du parc Tiergarten, près du Reichstag (le Parlement), et arrivée dans la même avenue, après être passé sous la célèbre et mythique porte de Brandeburg (Branderburger Tor) surmontée de son quadrige. Toujours de larges avenues, propices à la performance. Plusieurs records du monde appartiennent à Berlin.
Nombre de participants : 35000
Organisation générale : Très bien organisé. Récupération des dossards la veille dans un grand hall d'exposition, avec stands commerciaux autour du marathon, très éloigné du départ du marathon. Belle médaille. La veille, acclamez le marathon des rollers, c’est gracieux !
Ravitaillements : Tous les 5 kms, eau, et solide
Lièvres : ?
Chrono : Par puce individuelle, temps tous les 5 kms et à mi-course
La ville : mérite le voyage, c'est la ville symbole de la réunification Est-Ouest
Le public : Très nombreux, sur tout le parcours, et assez enthousiaste !
Les accompagnants : En réalisant peu de kms à pied, possibilité de voir le départ dans le Tiergarten Park, près de la gare, ou près du Reichstag, après quelques kms de course, et à l’arrivée, près de la Porte de Brandeburg. Entre 2, par le métro, on accède à plein d’endroits directement sur le parcours (d’où un public réparti tout au long du parcours).
Les médias : Evènement couvert par la presse mondiale, car on y bat des records mondiaux, et Berlin est inscrit dans le groupe des 5 plus grands marathons du monde avec Londres, New-York, Chicago, et Boston http://worldmarathonmajors.com/ (Paris n’a pas souhaité y participer)
Le site : http://www.real-berlin-marathon.com/events/berlin_maratho...
Les accès : Avion puis transports en commun nombreux, et à pied.
Les records mondiaux : Ce jour fut mémorable pour le monde du marathon, car l’éthiopien Heile Gebrselassie y a battu le record du monde du marathon en 2h04’26’’. Il était aussi heureux que moi. Ce record était précédemment détenu par le Kényan Paul Tergat en 2003 à Berlin en 2h04’55’'. (Je note qu'à New York, je courrais avec Paul Tergat, et c'est lui qui a gagné). Gebresselassie a rebattu ce record l’année suivante en 2008, toujours à Berlin, en 2h03’59’’. Le record reste à battre !
En 1998, histoire ancienne, le brésilien Ronaldo da Costa avait battu le record mondial en 2h06’05’’. A ce rythme là, il faudra encore 20 ans, pour passer sous la barre des 2 heures.
Chez les femmes, la japonaise Naoko Takahashi est la première femme à descendre sous les 2h20 (2h19’46’’) en 2001.
Mon temps : 4h40 en 2007 (52 ans) pour mon huitième et dernier marathon
Mon récit : Ce marathon planifié un an à l’avance s’est vu compromettre par une hernie discale et sciatique en mars 2007. Pas de course à pied entre mars et août. Reprise de la course à pied en septembre. 5 kms le 1er week-end, puis 10 le 2ème we, puis 15 le 3ème, puis 10 et 10 le 4ème. C’est tout. Je suis parti à Berlin pour visiter la ville en famille du jeudi au lundi. Puisque je pouvais courir 20 kms, une semaine avant, je pensais courir 25 kms et m’arrêter, et ou finir à pied.
Mes impressions : c'est un parcours dans une ville riche en architectures. Très roulant, très bien organisé, au public nombreux et enthousiaste ! A conseiller pour tous. Le passage sous la Brandenburger Tor est mythique !
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